Es interesante subrayar que Discépolo creó las letras Y la música. Expresa una vez más su pesimismo acerca de la humanidad, pero aquí con una tonalidad de desesperanza de la fe, cuestionando a Dios sobre el tema que los buenos y los creyentes serían los vencidos…
¡Aullando entre relámpagos, perdido en la tormenta de mi noche interminable, ¡Dios! busco tu nombre... No quiero que tu rayo me enceguezca entre el horror, porque preciso luz para seguir... ¿Lo que aprendí de tu mano no sirve para vivir? Yo siento que mi fe se tambalea, que la gente mala, vive ¡Dios! mejor que yo...
Si la vida es el infierno y el honrao vive entre lágrimas, ¿cuál es el bien... del que lucha en nombre tuyo, limpio, puro?... ¿para qué?... Si hoy la infamia da el sendero y el amor mata en tu nombre, ¡Dios!, lo que has besao... El seguirte es dar ventaja y el amarte sucumbir al mal.
No quiero abandonarte, yo, demuestra una vez sola que el traidor no vive impune, ¡Dios! para besarte... Enséñame una flor que haya nacido del esfuerzo de seguirte, ¡Dios! para no odiar: al mundo que me desprecia porque no aprendo a robar... Y entonces de rodillas, hecho sangre en los guijarros moriré con vos, ¡feliz, Señor!
Escuchemos la interpretación expresiva y profunda de Mario Pomar con la orquesta de Di Sarli.
Miremos y escuchemos una curiosidad, la interpretación de Tania, la pareja de Discépolo, en la película del mismo "Cuatro corazones" , donde la canción fue estrenada.
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Il est intéressant de souligner que les paroles ET la musique sont de Discépolo. Il exprime encore une fois son pessimisme sur l'humanité, mais ici avec une tonalité de désespoir de la foi, interpellant Dieu sur le thème que les bons et les croyants seraient les perdants…
Hurlant entre les éclairs, Perdu dans la tempête de ma nuit interminable, Dieu ! je cherche ton nom… Je ne veux pas que ton éclair m'aveugle au milieu de l'horreur, Car j'ai besoin de lumière pour continuer… Ce que j'ai appris de toi ne sert pas pour vivre ? Je sens ma foi branlante, Car les gens mauvais vivent Dieu ! mieux que moi…
Si la vie est l'enfer Et l'honnête vit dans les larmes, Où est le bien… De celui qui lutte en ton nom, propre, pur ?... à quoi bon?... Car aujourd'hui l'infamie montre le chemin et l'amour tue en ton nom, Dieu ! ce que tu as embrassé… Te suivre c'est favoriser le mal et t'aimer C'est y succomber
Je ne veux pas t'abandonner, moi, Démontre une seule fois que le traître ne vit pas impuni, Dieu ! et je t'embrasserai… Montre-moi une fleur qui soit née de l'effort de te suivre Dieu ! pour ne pas haïr le monde qui me méprise car je n'apprends pas à voler… Et alors à genoux Jusqu'au sang sur les cailloux Je mourrai avec toi, heureux, Seigneur ! Traduction Léon Lévy-Bencheton © 2017 Tous droits de reproduction réservés
Ecoutons l'interprétation expressive et profonde de Mario Pomar avec l'orchestre de Di Sarli. Regardons et écoutons une curiosité, l'interprétation de Tania, la compagne de Discépolo, dans le film de ce dernier "Cuatro corazones", où la chanson fut créée.
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